En route vers Koné

09-10 juin

Ca y est, notre planning nous offre deux jours de congés en commun avec en plus le beau temps de retour!!!!!! Allé hop, ça tombe bien on devait aller à Koné pour un rendez-vous à la DASS nord donc en voiture Simone et roulez jeunesse!!!!!!!!!!!!!!!

Au programme, c'est 3 heures de route pour atteindre Koné, donc une petite pause s'impose et en prenant une petite route vers la côte nous tombons sur une plus que charmante petite (18 km de long quand même) plage toute tranquille et quasi déserte.

Elle se trouve juste au sud de Bourail, sur la côte ouest. Protégée par le récif de corail, le lagon est d'un bleu azur et transparent comme on en avait pas encore vu jusque là. Au large on devine les vagues qui viennent s'abattre sur le récif (belle houle d'ailleurs ce jour là, mais sans bateau impossible d'y aller)

Il est environ 12h donc pour nous il est l'heure de l'apéro. Alors à la votre!!!!!!!!!!!



S'en suit une belle petite plongée avec une visibilité de plusieurs mètres. Le lagon étant peu profond, il se prête assez bien à une petite balade en palme-tuba puis à une baignade pour se rafraichir avant de se prélasser sur le sable blanc




Tout près de la se trouve la baie au tortues, célèbre pour son spot de surf (un des rares accessibles sans bateau) et pour ses habitantes qui lui ont donné son nom (lieu de ponte de la tortue marine)



Le rocher de l'homme debout (pourquoi? ça, on sait pas..)



Le soir venu, on gagne Koné, qui est une petite ville de quelques milliers d'habitants. Capitale de la province nord. A quelques kilomètres, nous gagnons la plage de Foué où on gare la voiture face à l'océan pour assister au coucher du soleil.

Magnifique!!!!!!!!

Une fois le soleil couché, nos amis les moustiques (la mangrove n'est jamais loin) nous poussent à nous retrancher dans notre Titine qui peut se convertir en petit lit douillet.

La nuit fut des plus paisible, isolé de la ville. La voiture nous offre assez de place pour y être complètement allongé. Bref le luxe auquel il reste juste à ajouter des petits coussins. Les matelas que l'on a dégotés font eux complètement l'affaire.

Le matin venu nous fonçons à notre entretien qui débouchera sur un emploi pour Hélène dont nous attendons encore les modalités. Mais se sera en dispensaire et pour le 28 juin probablement. Nous en saurons plus très bientôt. Sur le chemin du retour nous nous arrêtons à Buraké, à Boulouparis, pour y faire une petite plongée. Le site que nous avions trouvé est encore plus beau par ciel bleu. Le lieu est le paradis des oursins. C'est donc avec prudence que nous les observons avant de nous faire une petite pause thé et de rentrer sur Nouméa la tête pleine de ces belles images.





Et dire qu'à Koh Lanta, ils galèrent pour faire du feu... ;)

Le mont Mou, seconde tentative...

04 juin 2010
Et nous revoilà repartit à l'assaut du mont Mou. La première fois nous avions essuyé un échec mais nous étions un peu parti la fleur au fusil. Alors cette fois c'est équipé et avec des vivres que nous avons pris le sentier abrupte qui mène au sommet. Et autant être franc... c'est encore à un cuisant échec que nous avons du faire face.

Alors pourquoi? Et bien c'est plein de choses et des petits riens. Déjà c'est mal indiqué et on peut se perdre facilement.


Ensuite, on était pas très en forme...


Non, en faite rien de tout ça. La vrai raison est la météo qui nous arrose copieusement en ce moment d'averse et qui rend la terre rouge du sol calédonien aussi glissant qu'une patinoire. Ce qui nous a valu quelques chutes et quelques glissades heureusement sans conséquences.

Cette fois nous avons pu gravir une bonne partie du mont, et nous nous sommes arrêté à environ 1 heure du sommet (quand la pente glissante nous forçait à la grimper avec l'aide de nos mains...)
La vue n'en reste pas moins à couper le souffle sur la baie de Nouméa. Le ciel un peu gris ce jour là, enlève la couleur bleue du lagon mais les nuages étant haut, le panorama s'étant à des kilomètres devant nous.

Sur le chemin nous sommes passé de la forêt humide où nous nous étions arrêté la dernière fois à une végétation rase soumis au vent. La pente se fait alors un peu moins raide et le sentier suit une ligne de crête vers le sommet avant de devenir trop raide pour nos petites pattes.

Certains passages nous aurons même poussé à faire un peu d'escalade, même si les photos écrasent les pentes, nos jambes confirment par les courbatures que c'était raides!!!!

Bref, 6 heures d'effort bien récompensées par des panorama plus beaux les uns que les autres et on reviendra par beau temps cette fois ci et on se le fera ce mont Mou, nom de diou!!!!!!!!!!!!!!!